Agnetha Fältskog Gäst Hos Hagge (1985)

Gäst Hos Hagge (1985) Agnetha Fältskog



Note du traducteur : l’intérêt de l’interview est la connaissance de la personnalité d’Agnetha qui est bien illustrée, malgré la stupidité de l’intervieweur, elle reste stoïque, on apprend maintes choses et notamment sur sa phobie de l’avion.




Hagge Geigert (H),

Agnetha Fältskog (A)

[applaudissements ]


H : Merci beaucoup. Salut et bienvenue, et ce n’est pas un jour comme les autres dans notre programme puisque c’est la 50eme de notre émission et donc cela justifie que l’on accueille comme invite une star internationale et nous l’avons réservée pour l’occasion : Agnetha Fältskog, bienvenue !

[Agnetha entre ,applaudissements, Hagge embrasse Agnetha]

H : Vous vous sentez vraiment bienvenue, n’est ce pas?

A : La chaleur du public, naturellement ...

Et ceci surtout parce que beaucoup sont vos fans venus de toute la Scandinavie .

A : Vraiment ?

Je vous l’assure !

A : Super !

Et nous avons tellement reçu de lettres de personnes voulant ... (A regarde le ”chapeau” de H qui a écrit dessus Agnetha Fältskog) oui c’est un hommage pour vous, ceci. Écrit par moi-même.

A : Le ”h” est aussi présent maintenant.

Oh oui, on peut l’épeler ! bien, ils ont écrit pour participer .mais nous ne pouvons accueillir 10000 personnes, mais nous avons une centaine .et beaucoup sont vos fans depuis des années, j’ai pense qu’on pouvait descendre et saluer ces trois filles assise la, avec lesquels j’ai sympathise avant le show .l’une d’elle est de Skåne.

A : D’accord.










Son nom est Petra


A : Oui je la connais

Vous la connaissez ? Pouvons nous descendre ou ?

A : oui

H : salut

Petra : salut

H : Sur ses genoux elle a trois albums, qu’elle a ramenés, pleins de photos de vous, n’est ce pas ?

Petra : oui, c’est vrai.






H : Combien avez vous collecte ?


P : Ce n’est qu’une partie, trois livres .c’est les suédois, j’en ai pleins d’autres.

H : Qu’est ce que tu aime chez elle ?

P : Bon, son naturel, et sa réussite en dépit de son aspect naturel ...il n’y a pas de prétention ni de ”faux airs” .beaucoup en sont .et je pense.je pense que vous êtes si naturelle.

H a : combien l’avez vous paye ? Eh ?

(Rires)

A : je ne savais même pas qu’elle serait ici.

H a P: bien répondu.

A : c’est vraiment.

H a P : tu aime Agnetha ?

P : oh oui !!

A : je la connais surtout parce qu’elle m’a écrit un grand nombre de lettres, et nous partageons la même date de naissance.

H a P : quel âge a tu ?

P : 17 ans.

H a P : 17 ...et la tu n’a que trois objets la concernant ...

H a deux danoises ; et vous, vous venez du Danemark.

Les filles : oui !!

H: Kopenhagen.

La 1ere : oui.

H : et toi ?

La 2eme : Jylland.

H : bienvenue.

1ere fille ; merci.

H : vous regardez la TV suédoise au Danemark ?

2eme fille : oui !

H : est-elle meilleure ?

2eme fille : je le pense.

H : tu le pense, pourquoi aimes tu Agnetha ?

1ere fille : bien, c’est comme ...

H : dis le en danois.

1ere fille : ok

A : nous comprendrons.

1ere fille : en premier, son naturel, comme le dit Petra, et l’amour qu’elle porte aux autres, c’est très important, l’amour qu’elle porte a ses enfants et les enfants en général, je considère cela comme primordial.

H a toutes les trois : voudriez vous savoir quelque chose de nouveau sur elle ?

A : oh, je ne le pense pas ...

P : bon ...quel pointure vous portez ?

A : 37.

H : très bien, 37, maintenant tout le monde le sais.

A : pareil que ma fille.

H : okay, rien d’autre ? C’est bien que vous venez pour la 50eme .ça s’appelle "halv fjers", n’est ce pas ?

2eme fille : oui !

H : oui, en danois. Salut le Danemark !

1ere fille : bienvenue a notre show !

H : merci beaucoup, mes salutations à tous les danois sauf Helsingör.

H : charmantes, n’est ce pas ?

A : oui vraiment !

H : si nous avions décidé d’accepter tous vos fans nous pourrions remplir le scandinavium ! (14000 places selon wikipedia)

A : a ce point ?

H : oui, c’est aussi géant, avez vous peur des planches ?

A : évidemment !

H : vraiment ?

A : oui c’est fou, mais vraiment ...

H : moi aussi, j’en tremble.

A : moi aussi !

H : que pourrions nous faire ?

A : c’est horrible, j’en ai eu des cauchemars durant six mois.

H : non ...vraiment ?

A : oui.

H : plaît-il ? .....je n’en ai eu que depuis hier.

 

H : bon, nous nous en débarrasserons, n’est ce pas ?

A : je le pense, je l’espère en tout cas. Un peu d’eau ...

H : vous venez de faire une belle entrée .pourtant ce n’est pas toujours le cas ; vous êtes déjà tombe ...c’était a Londres ?

A : effectivement !

H : vous vous êtes effondrée ...

A : oui ...

H : pourquoi ?

A : en fait, pas effondre mais glisse .c’était en direct je fus filmée trop tard avec de très haut talons, devant sortir derrière un rideau .c’était très bien déroulé en répétition mais en direct je fus précipitée parce qu’on ne m’a pas correctement montre ma place, j’ai donc envoyé le pas trop loin, derrière le rideau, sans qu’il n y ait de marche .résultat, j’ai chute comme une pierre et suis tombée en V, ainsi .ce n’était pas marrant !

H : pouvez vous me montrer ?

A : ainsi ! (Agnetha montre avec ses bras) et j’ai alors entendu mon nom mais ne pu me relever .et enfin vint un gars gentiment pour me pousser ainsi (Agnetha mimant le geste)

H : en direct, mesdames et messieurs !

H : c’était horrible de rester allongée ainsi et ne pas pouvoir répondre a l’appel du présentateur.

H : cette fois au moins cela s’est bien déroulé .il en existe des événements importants dans votre courte vie .si je cite 1950, que diriez vous ?

A : c’est l’année de ma naissance.

H : vous êtes née cette année la.

A : c’est un chiffre rond facile à retenir !

H : 5 avril plus exactement .et 1955 ?

A : j’avais 5 ans. (Rires)

H : qu’est il arrive ?

A : aie, qu’est je bien pu faire ?

A : vous étiez sur une table, pour la fête compagnie d’électricité a Jönköping et votre salopette est tombée. (Rires)

A ; c’est vrai !

H ; absolument.vous rappelez vous ?

A : je ne m’en suis pas souvenu mais on me l’a raconte plusieurs fois, surtout ma maman. Je me suis rappelle alors les bretelles qui se décrochaient mais pas plus .je portais une jupe très courte sur un pantalon dont les bretelles ont lâché. (Ou bien des sous vêtements ?)

H : c’était inconsciemment mais pour attirer l’attention !

A : oh non ...ce n’était pas le cas!

H : et 1967, pour remonter plus proches de nous .c’était une grande année pour vous. Qu’est il arrive ?

A : Mumm....j’avais 17 ans .il s’agit de la chanson au hit parade (svensktoppen est un hitparade de radio) j’ai enregistre mes chansons a ce moment mais en fait en 68, on peut dire .quand j’avais 18 ans .depuis je suis professionnelle.

H : on peut le dire ...c’était vos propres compositions ! Très rare à cet âge !!

A : j’ai commence des l’âge de cinq ans.

H : .....les filles le faisait ces temps la .comment faites vous quand vous composez .sur un piano ou avec une magnéto ou alors ?

A : non mes parents ont réussi à m’acheter un piano et j’ai d’emblée commence à composer .avant cela j’utilisais le piano des voisins d’en haut .je brulait d’envie de composer.

H: mais quand on est a Jönköping, composer, n’intéressait personne, les maisons de disques par exemple ...

A : non j’ai été chanceuse .je travaillait avec un orchestre de dance de Bernt Engharts qui lui même connaissait Little Gerhard, ce dernier travaillait pour cupol petite compagnie de CBS.il a aime l’enregistrement qu’on lui a envoyé.

H : oui vous étiez dans les hit-parades tout le temps, c’était énorme !

A : oui, c’était génial d’y parvenir.

H : et en 68 vous vous êtes installe a Stockholm. Après avoir abandonné votre boulot de standardiste a Jönköping, juste ?

A : Mmmmm.

H : qu’avez vous fait a Stockholm. On ne peut pas aller a Stockholm ainsi sans ...

A : a Jönköping je travaillais comme standardiste pour une firme automobile en même temps que je chantais dans un orchestre .c’était trop, un jour je me suis évanouis dans la firme car harassée .ma mère alors m’a pose un ultimatum : c’était ou la firme ou l’orchestre, le choix fut facile pour moi .je voulais chanter, j’ai donc abandonné le boulot de standard.

H : oui vous êtes si ... vous êtes si... bon, à propos nous avons une photo de cet orchestre. Quel est son nom ? Eng...

A : Engharts. Ouais.

H : la voici.

A : oui ce n’est pas à eux que je dis ouais mais a moi même.

H : une vielle photo. Voila comment vous étiez, aussi belle que maintenant.








H : écoutez... vous êtes immensément célèbre dans le monde entier, par conséquent tout les chefs d’orchestre et arrangeurs et tous ces gens qui travaillent dans la musique .vous devez avoir des multitudes de demandes pour des accompagnements etc...

A : oui je suis énormément sollicitée dans ce domaine.

H : nous avons un pauvre petit chef d’orchestre. C’est Curt-Eric Holmqvist. Il a fait ce .., c’est quoi déjà ? La faculté de musique. Ou alors il était concierge. Je n’en sais rien ...

CE : je ne sais pas si j’ai laisse un semblant de trace.

H ; il a parcouru l’académie. Je ne sais pas ; si il existe un semblant de musique, pensez vous qu’il sera capable ?

A : la question est si je peux assurer !

H : j’ai pense qu’il pourrait jouer un peu pour vous .venez ici et on verra si vous lui passerai l’épreuve. Mettez vous quelque part par ici, pour le voir.

(Curt Eric joue faux et lentement)

H : il doit y avoir quelque chose qui cloche avec ce piano !

A : oui, je le pense aussi. Non nous ne pouvons le faire !

H : j’ai fait tout ça pour montrer au public combien il est difficile sur un piano mal accorde.

A : oui, parfois vous le faites ...

H : oui, mais justement, tout le monde croit que c’est facile, mais c’est horriblement dur .pour pouvoir jouer faux ainsi, il faut être capable de jouer parfaitement, n’est ce pas ?

A : oui, j’en suis persuadée. Je ne l’ai pas essaye assez fréquemment.

H : Viktor Borges, par exemple .il joue beaucoup et s’amuse avec la musique, et ceci grâce au fait qu’il est un brillant concertiste, d’après ce qu’on m’a dit.

A : juste !

H : revenons a ou nous étions ! Vous ai je dis que je vous aimez ? (rires)

A : non, pas encore !

H : je ne l’ai pas encore dit .je l’ai vérifié sur ma liste ! (rires)

A : vous me dites cela comme ça, c’est tout.

H : je le dit atout le monde ! Certains payent aussi, vous savez.

A : bon, je l’ai fait.

H : mais cette fois, et pour une fois, j’étais très sérieux !!

A : quelle chance !

H : en parlant de chance. ..En 1970 vous vous êtes mariée.

A : c’est vrai.

H : a verum

A : Mumm...

H : un loup a verum...

A : pourquoi ...ou quoi ?

H : oui, pourquoi vous êtes vous mariée a ... Skåne, n’est ce pas ?

A : pourquoi verum .bien, nous avons cherche plusieurs endroits.

H : des églises ?

A : oui, plusieurs églises. Et nous avons trouve une qui étais belle la bas.

H : c’est donc ce qui vous a décidé, la plus belle église !

A : oui et les environs, et des choses dans ce genre.

H : bon, c’est romantique !

A : exacte !

H : vous vous rencontre, vous et Bjorn sur une émission de tv ?

A : oui, nous étions en train de préparer un hommage a jules sylvain, et Bjorn étais le chanteur récupéré des hootenanny singers .et j’étais sur le même plateau.

H : oui et savez vous ce que on a ce soir ? Nous avons ....et il est tombe amoureux parce que vous aimiez voler. (Le public rie intentionnellement à cette remarque)

A : c’est la raison ?

H : c’est sur .je la désirais, il disait, parce qu’elle aimait voler. Nous en avons la preuve !

A : ah oui ?

H ; bien sur.

A : aha , je sais exactement de quoi il s’agit .

H : vous pensez le savoir. On va voir. Nous allons diffuser quelque chose que vous avez tourne ici a Malmö au moment exact ou vous l’avez rencontre.

A : c’est très gentil.

H : oui ; c’est un clip extrait d’un show que ....

( Agnetha chante "Nu skall vi opp opp opp" (vieux tube) dans un clip entourée de quelques membres de l’Armée de l'air et de pilotes de SAAB Draken )

” Nous allons monter, monter, monter sur le sommet de l’amour naissant

Viens rejoins moi, et ne blâme personne si, si, si

C’est sur tu es amoureux, amoureux amoureux, si tu veux me dire quelque chose, je suis la la la

La Tienne, tienne, tienne, je veux être et le devenir, si tu veux être le mien mien mien

La route vers le paradis est ennuyeuse et sinueuse, mais tu verras que la en haut parmi les nuages, le ciel n’est jamais comme ici

Il est toujours bleu bleu bleu , pour toujours , alors viens allons y , allons y , allons y !

En haut, en haut, en haut, sur les sommets de l’amour naissant

Voltigeant au top top la la aaaaaa...”

(Applaudissements)

A : Mumm... c’est ce qui arrive ...

H : c’est comme votre amour pour le vol

A : c’est sur que j’aimais en ce temps la

H : vous chantiez aussi parfaitement quand ce truc s’est abaisse ! (capot de l’avion)

A ; oui ça  sonnait pareil !

H : aussi bon, c’est ainsi .nous avons d’autres clips ici. Certains très importants. Vous aviez beaucoup de succès ici à Göteborg. Au scandinavium, dans jésus christ superstar comme marie madeleine

.voudriez vous le voir. Cela remonte a combien ?

A : cela devient dur pour moi de me rappeler ces années la.

H : oui .c’est les 70s, le début, n’est ce pas ?

A ; 71 - 72 je crois

H : au moins les critiques étais unanimes, positives .je m’en rappelle.

A : génial !

H : et vous avez interprété la chanson de marie madeleine. Nous avons des images, voudriez vous les voir ?

A : j’adorerais !

[Clip extrait de ”Jésus Christ Superstar ” (Vart skall min kärlek föra?):]

”Ou mon amour me conduira, dit moi que pourrais je faire ?

Pourrais atteindre ce cœur ?

Quand il m’a vu tout a change   ,  Je ne suis plus...”

(Interruption)


A : c’est gênant.

H : bon je crois c’est quoi cette table apportée ?

A ; oh non un oignon !

H : j’ai une petite surprise pour vous !

A : une moitie d’oignon ...

H : le fait est que Frida quand elle nous a honore de sa présence s’est révélée un cordon bleu .j’ai donc pense vous demander de faire quelque chose .et pour plus de difficulté, je vous demanderais d’éplucher d’abord cet oignon. Il y’a aussi des bandes a gaze. En même temps, Agnetha, et cela sera votre plus grand défi dans la vie, j’ai pense que vous pourriez chanter une de vos chanson qui serait appropriée.

A ; en coupant l’oignon ?

H : oui, une qui conviendrais avec l’épluchage d’oignon. Cela s’appelle ”je serais

A : ...millionnaire...”

H : ”....si les larmes valaient de l’or ”

A : il peut vous faire faire tout ce qu’il veut ce gars !

(Curt Eric joue, Agnetha épluche et chante)

A : je ne vais faire que le quart !

* * *

H ; 74 Brighton .nous en avons parle longuement avec Frida et le peuple suédois entier connait. Vous avez gagné avec « Waterloo » et tout ça. Mais il y’a une carrière avant et après abba.

A : oui c’est sur.



H : avant abba, il y’a Agnetha qui compose et qui grimpe dans les hitparades. Et j’ai pense ...en questionnant Dr Holmqvist, notre chef d’orchestre ici présent (il est agrégé, docteur honoris causa dans ce show s’il (il mérite ce titre pour certaines choses) pouvait jouer quelques succès et voir si vous vous les rappelés .j’ai les paroles ici, au cas où, qu’on a mis de cote.”J’étais tellement amoureuse ” votre première succès

A ; que j’ai enregistre.

(Curt Eric joue)

A : je dois chanter ? ... ” Dit moi pourrais tu pardonner ...” (elle chante "Jag var så kär”)

H : vous êtes adorable !

A : oops, je chante si mal !

H : vous êtes parfaite ! Vous l’ai je déjà dit ? Que je vous aimais tant ?

A : Mumm...

H : je note, fait.

A : c’est la seconde fois !


H : et c’est quoi ça ?

(Piano, Agnetha chante ”utan dej” ou ”sans toi ”)

A : etc. ...

H : vous êtes amoureuse tout le temps. Vous aimez tout le monde !

A : oui, bon ...je ne suis pas amoureuse de tout le monde !

H : mais vous chantez. Chaque mot ...

A : oui, c’était ainsi. Mais comme vous le voyez, j’ai écrit les textes de ces deux chansons !

H : oui, et il y’a de l’amour partout dans chaque couplet.

A ; c’était comme ça tout le temps !

H : et celle la ? "En sång och en saga" ”une chanson , une histoire ” ça parle ...

A : ouais. Je ne crois pas que quelqu’un la déjà entendue !

Curt Eric : dois je jouer une plus récente ?

H : oui, qu’est il arrive ensuite. Curt Eric ?

Curt Eric : beaucoup de choses, mais dois je jouer quelque chose de plus récent ?

A : oui allez y !

H ; vous avez fait quelques

A : c’était il y’a longtemps en suédois.

Curt Eric : 1, 2, 3,4...

(piano et Agnetha chante ”the heat is on ”)

H : je connais celle ci !

A : vous la connaissez ?

H : oui !

A : mais elle était meilleure à cette époque !

H : je positive, j’ai l’ai entendue...

Curt Eric : 1, 2, 3,4...

( Piano, Agnetha chante ”i won’t let you go ”)

H : tout le monde la connait sauf moi ! , ça s’appelle comment

A: I won't let you go.(tu ne m'echapera pas !)



H : elle est récente.

A : oui, je l’ai composée et Eric Stewart a écrit le texte !


H : vous etes douee !


A : n’est ce pas ?

H : reellement , je suis epate !

A : c’est amusant de composer ,quoique difficille . mais c’est gratifiant quand le resultat est bon !

H : oui , et la faire enregistree ,etc ...

A : ouiiiii

H : Un grand mal pour moi . personne n’a voulu de ma chanson .
c’est le moment ABBA ,on ne peut y echapper .ce doit etre ... on peut s’en passer (microphone ) ...ce devait etre une experience fabuleuse . avoir a s’assoir ,dans un loitain future et raconter a vos petits enfants les tournee d’ABBA , cela sort de l’ordinaire !

A : les dix ans d’ABBA !

H : vous avez beaucoup voyage par avion ?

A ; bien sur !

H : comment vous vous en etes accomode ?

A : c’est  sur , ça marchait comme sur des roulettes , mais voyager dans autant de pays ,juste pour le travail , sans pouvoir profiter , c’est malheureux ! j’ai voyage en avions durant toutes ces annees sans probleme .

H : c’est un ouragan ou autre qui vous a traumatise ,si je ne me trompe ?

A ; oui c’etait horrible . on doit s’habituer a ressentir le moment de mourir , ou sentir sa mort venir !

H : c’est cela que vous ressentiez ?

A : oui !

H : alors comment c’etait ?

A ; bien , nous sommes rentre ... c’est une longue histoire et ,c’est difficile de s’en rappeler avec precision .

H : non ,mais c’etait un ouragan qui a perdurre !

A : c’etait une vrai catastrophe qu’on a traverse . nous volions dans un petit avion et tout les grand avions ont ete renvoye a new york car il n’avait plus la possibilite d’atterir , de plus comme nous n’avions plus assez de kerozene  pour le retour , nous primes un petit avion et ça balançait comme ça (elle montre avec ses mains ) tout le temps et on ne distinguait rien !

H : et depuis vous etes ...?

Bon ce n’etait pas que cet incident . je n’ai jamis aimer voler .je prenais l’avion par necessite .j’ai vole il y’a quinze jour d’allemagne vers stockholm. Je n’aimes pas cela .mais en ce temps je trouvait meme cela excitant ...quand j’arrive a prendre l’avion et decoler ,c’est tres amusant de rester au devant ,dans le cockpit et voir l’atterisage et tout ça .fun...c’est passionant de voir le pilotage .et c’est plus facile , car on peut voir devant , le parcours , comment cela est realise , qu’il ont un enorme travail constemment . mais quand on est passager on ne voit que le cote ,sans rien voir de ce qui se passe et c’en est trop ,trop dur !!

A : je me sens en sécurité en voiture, parce que j’ai le control, je peux m’échapper, même si je sais pertinemment ...




H : vous avez le permis ?

A : je l’ai avec moi (montrant sa poche droite) depuis 68 je me sens libre en auto, surtout si c’est moi qui conduit. C’est tout ; je veux être au commandes, on se sent ainsi en sécurité et on se sent mieux qu’en milieu des airs. C’est ma façon de voir les choses !

H : il y’a beaucoup de monde qui conduit sur les routes, mais ne devrait même pas avoir le permis ! Nous y allons bientôt, à propos .j’ai mon idée sur ça et j’en suis heureux que vous l’ayez mentionne !

Ces concerts en Australie ... des centaines de milliers de personnes. Des choses extraordinaires doivent avoir eu lieu ! N’avez vous pas été attaque par des insectes, ou je confond ?

A : non nous l’avons été !

H : c’est donc vrai !

A : il nous est arrive beaucoup de choses toutes ces années.

H : le viviez vous bien quand vous étiez en tournée .c’est quand même 4 personnes ;

A : si.

H : mais 4 personnes qui vivent et travaillent et voyagent ensemble ; ce n’est pas difficile ?


A : bien sur, ça crée des tensions, avant les concerts, toute cette routine des tournées est pesante, c’est harassant. Vous ne rêvez que de retrouver son home !

H : quel est le plus gros tube de toute la carrière du groupe.

A : le plus grand ?

H : le plus gros tube !

A : c’est difficile de le dire !

H : vous ne le savez pas ? N y’a t il pas de classement par ventes de single ?

A : je ne m’intéresse pas à cela !

H : donc vous n’en n’avez pas la moindre idée. Qu’en penser, Curt Eric ?

A : je parierai sur dancing queen !

CE: Dancing Queen!

H : oui, c’est presque.

A : oui.

Curt Eric : je n’en ai pas la preuve, mais ...



A : j’en suis persuadée.

H : mais ça ne sert a rien de le jouer. Non

A : non je l’ai oublie

H : oublie ... (rires)

H : c’est incroyable, mais quand je lis sur vous ou vois des interviews etc... ,25 % est dédié à votre postérieur sexy !

A : vous dites

H : je ne plaisante pas ! Vous le saviez, non ?

A : je ne l’ai jamais saisi !


H : non ... ce sont des australiens et américains, qui viennent poser des questions : oh, quel beau postérieur elle a !

A : oui mais doux jésus !

H : oui. Comment on se sent quand on nous demande des choses aussi stupides ? Je ne poserai jamais de telles questions. (Rires) mais il n’y a aucune honte

A ; vous voyez je que j’endure.

H : nous n’en parlerons plus, mais vous le savez.

Apres abba beaucoup pensent que vous avez arrêté d’enregistrer mais c’est faux, j’ai découvert ? parce que ça a bien marche , que vous avez sortis deux albums très bien ficelés ,avec succès .le premier s’est vendu a 1.2 million d’exemplaires a ce que j’ai appris , 3200000 en suède seule .le second viens d’être dans les bacs ,ou il y’a quelques mois (deux) .il s’est vendu a 100000 exemplaires en suède déjà (classe n 2 dans les charts )

A: super !

H : ouais

A : j’en suis heureuse !

H : juste parce que vous ne faites pas de gala, on pense que vous avez stoppe, mais c’est faux !

A : non. Cela se produit quand vous avez été au top du top, avec un groupe, au plus haut sommet, on pense alors que vous vous repose sur vos lauriers .mais m’assoir les bras croises pour ne rien faire très peu pour moi. J’aime travailler et profiter de nouvelles expérience, lever des défis !

H: Raskenstam, bien sur. On allait presque le film Raskenstam.

A ; oui, c’en est un autre.c’est ça.j’aime explorer de nouvelles facettes de moi meme.

H : en plus, c’est un rôle dramatique.

A : oui, et le premier .j’étais très inquiète avant de le tourner, parce que je savais et j’en ai parle avec Gunnar, que je ne savais pas si j’en été capable. Mais nous avons fait des trucs avec abba sur scène et donc la représentation ne m’intimidait pas.

H : comment c’était de travailler avec Gunnar Hellström?

A : très bien, il est excellent.

H : il a l’habitude de la difficulté.

A : oui il a de l’expérience comme réalisateur. Je l’ai compris des que j’ai reçu le script .on m’a déjà propose des rôles mais je ne le sentais pas .cela n’allait pas .je fais très attention a ce que je choisis.

H : on va voir, un extrait qui nous été confie par Gunnar qui n’est pas dans le film.

A : non ?

H : un truc rejeté. Il y’a des bloopers (bêtisiers), non ? Quand on filme et qu’on a des extraits inutilisables !

A : alors je devine

H ! Vous le savez ? Nous allons le montrer. C’est quand vous allez dormir. Je pense ou ...

[Clip du ”making of Raskenstam”]
----------------------dialogues---------------------------

Gunnar: j’en deviens fou ! Non va s’y.

A: il te ressemble

G: comment va t on l’appeler

A: il te ressemble

G oui mais comment le nommer ?

A: tu décide, il te ressemble tellement

GH [hystérique]: mon dieu !

GH: arrête de le pincer, pas maintenait

A: n’est-il adorable

G: met l dans la valise

G: pose-le là-bas sur le fauteuil ! Viens t’allonger

A: c’est ce que je dois faire ?

G: oui fais le. Il dit alors ... [rire] enlève ton chapeau ?!

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H : c’est la première fois qu’on voit quelqu’un aller au lit avec un chapeau ... on se demande ou est passe cette scène, on a trouve cela aussi, du film cette fois ; comment cette scène a aboutie dans le film, parce que ce n’était pas très utile.

A : non du tout.

H : bon ils auraient pu l’utiliser .voila la scène finie.

[Extrait du film Raskenstam]

-----------------------dialogues---------------------------

A: il te ressemble (bébé)

G: comment le nommer ?

A: tu décide, il te ressemble tellement.

G: vraiment ?

A: mais tout le monde dit qu’il a mes yeux. N’est il pas adorable …

G: bien sur, un beau petit garçon.
(Retour au studio)


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A : je me suis amuse au tournage

H : le porte document

A : bien, Gunnar était très fatigue ce jour, et il avait des fous rires sans arrêt.

H : je pense qu’on devrait s’attabler a ce bar. Vous avez apporte votre permis ?

A : oui, dans ma poche



H : allons-y. Il m’arrive d’imaginer que la moitie des gens qui conduisent ...

A: [un son de désaccord]



H : ils ne méritent pas le permis

A : devrais-je le montrer ?

H ; gardez le pour le moment.

A : il est neuf, en plus.

H : on va voir si vous pouvez garder le permis Agnetha. J’ai les autorités dans ce studio, donc ...on va voir ce qui va se passer (il porte des panneaux de signalisation)

A : les réponses sont derrières ! (...des panneaux qu’il compte tester avec !)

H : c’est pour que je sache. C’est quoi ? Qu’est ce peut être ? (il montre un jaune triangulaire avec les bords rouges, une flèche pointe en bas)

A : priorité au trafic qui nous croise.

H : vous le saviez ?!

A : oui, je l’ai vu mais je le connaissais.

H : vous le saviez, d’accord je ne montrerais plus rien. Et ça c’est quoi ? (jaune, triangulaire, bord rouge, pointe vers le haut, une barre noire verticale au milieu)

A : mmmm... croisement ...non, ou alors ...

H : ne lui soufflez pas !

A : bon, c’est ...

H : c’est faux, je le sais d’avance.

A ; avant le passage a niveau

H : non c’est faux

A : faites attention

H : attention, c’est valable pour tous ces panneaux

A : je ne suis plus sure.

H : autre danger !

A : autre danger, je vois !

H : c’est juste

A : comme cela, je le sais

H : Carola pensait que c’était Bert karlsson (Carola, chanteuse célèbre en suède, et son manager) alors c’est quoi ? (rond jaune, rouge au bord, un camion rouge et une auto noir au milieu)

A : la voiture rouge ne peut dépasser (avec un petit rire) non, le dépassement est interdit, sur cette route.

H: qu’est ce qui est interdit ?

A: le dépassement.

H: oui mais avec quoi ?

A: avec un camion.

H: très bien !

A: oui


H: C’est extraordinaire. Bon et celui ci ? (carre bleu, bords blanc, flèche rouge pointant en bas à cote d’une être flèche blanche pointant vers le milieu)

A: Bon vous devez rester à droite

H: Nous le faisons en suède

A: Non, c’est une intersection après une route à sens unique ou quelque chose de similaire.

H: ”quelque chose comme ça ”

A: Non mais oui ... non ...

H: Ça ne marche pas du tout, ce truc

A: Observer l’intersection

H: Oui mais on doit toujours faire ça. C’est pourquoi on conduit à droite

A: Bon .... Alors, aucune idée

H: Que peut on dire

A: Donnez-moi une autre chance ! Je ne sais pas

H : Ça ne marche pas. Ça signifie : priorité relative au véhicule rencontres (?????)

A: Ah bon c’est ça !

H: Et ça .vous devez assurer cette fois ! (rond jaune, bord rouge et barre en rouge, inscris 45 degrés, sur le signe)

A: Stationnement interdit

H: Vraiment ? Ou vivez-vous ?

A: Route à grande circulation. Je suis inutile à cela.

H: Mais vous ne le pouvez

A: J’ai été bonne une fois

H: Ce panneau n’existe pas





A: C’est juste moi ... tout blanc, voyez vous.

H: Mais ce panneau n’existe pas

A: Laissez moi voir derrière ! (elle regarde au dos mais c’est vide)

H: Ce panneau aussi n’existe pas ! Vous devriez le savoir

A: Regardez ! Voila pourquoi. Je ne l’ai jamais vu avant !

(Hagge montre le prochain : un rectangle jaune avec trois barre rouge l’une sur l’autre, tous titres 45 degrés (ou pi/4 pour les autres )

A: Passage à niveau

H: Oui mais

A: attention

H: Nous observons .nous vous observons, que signifie tous cela ?

A: Bon.trois passages ! Non mais c’est un passage à niveau. Vous allez voir deux barres puis une seule puis le passage.

H: Alors ça veut dire ? A combien de distance ? Prenez l’exemple

A: Moins on en a, plus on devrait faire attention

H: Oh, c’est fin. Mais sur quelle distance est chaque barre

A : Eh 3 m

H: Alors il faut vraiment faire attention ! 250 m. j’ai deux questions théoriques ; vous êtes suppose utilisez les feux quand vous remorquez

A: oui

H: non

A: pourquoi

H: Je n’en sais rien mais non

A : Je vois

H: Quelle est la vitesse maximum autorisée en remorquage, quand un ami est en panne. En tous cas pas un camion!

A: 30 km /h

H: 20, faux policier ! Venez, voici l’agent Carlén de la police de Göteborg.

Policier : je confisque ceci (le permis)

H: Que dire devant cela

A: Je ne peux donc pas le garder

Policier : ce n’était pas très bon

H: C’est sans appel ?

Policier : oui

A: Moi qui pensait que c’était bien de venir

H: Oui, pensait ! N’avons nous pas de jolies et charmantes policières ici a Göteborg

A: Oh oui adorables

H: N’est ce pas

A: Elles sont jolies.

H: Maintenant, si vous voyez Mme Fältskog conduire, appelez ... c’est la police de Lidingö, n’est ce pas ?

A: Oui c’est le plus près

H: Vous n’avez plus de permis
H: Bien, Agnetha, voyons : de quoi allons nous parler maintenant. Jönköping. Vous êtes chrétien ou horrible pécheur, non ?


A: Mmmm... Je ne sais pas si c’est le cas, mais

H: Etes vous originaire de ces environs

A: C’est juste à cote

H: lequel

A: J’ai des parents religieux

H: Dans une église indépendante

A : Oui

H: Vous avez donc baigne dans ce ...

A: Oui, je ne suis pas religieuse mais à la recherche de spiritualité, on peut le dire.

H: Vous faites vos prières le soir parfois

A: Oui, parfois

H: Ça aide ?

A: Je le pense

H: En partie pour vos épreuve personnelles dans votre vie familiale

A: Comme tout un chacun

H: Comme tout le monde. Divorces etc. ...bon. Vous êtes seule ?

A: A quelle profondeur de l’intimité allons nous ? (hagge chante : ”Är du ensam…” (”est tu seule …”)]

H : Ça ne me regarde pas

A: Je pense qu’un tabloïd (presse à scandale) l’envoie ici, l’êtes-vous ?

H: Vous devez être blasée, mais vous êtes forte et vous avez surmonte tout ça. Il y’a eu trop d’articles et de bêtises

A: Oh oui !

H: Les tabloïds

A: De la spéculation a tout vent

H: On vous a souvent décrite comme la petite fille fragile de la campagne qui ne peut s’occuper d’elle même !

A: Oui, exactement, mais en vérité c’était parfaitement le contraire

H: Si seulement ils savaient

A: Je suis très forte

H: Je le sais et vous savez très bien ce que vous faisais

A: Je l’espère

H: Et une opinion tranchée sur beaucoup de choses, un peu têtue, non ?

A: Oui je le suis

H: Parce que out votre entourage, dit : elle est formidable ! Intelligente, douée, talentueuse et sait beaucoup de choses

A: C’est probablement vrai

H: Bien dit par moi

A: Oui

H: Je le pense vraiment, je trouve injuste ce qu’on écrit. Oh j’oublie tout, maintenant, je voulais vous lancer dans une toute nouvelle carrière. Je me rappelle. On ne peut oublier ça ; le liberace scand… ou europeen.

A: Wow.

H: Vous le connaissez

A: oui

H: Liberace, celui qui joue du piano, le grand piano, habille de belles vestes

A: Je le sais

H: Je vais vous faire passer le tes t le plus dur

A: Non !

H: si Si, j’ai puise dans le répertoire de joseph Haydn...

A: Au mois c’est mieux que de couper les oignons

H: …” scarcino”. Pas d’oignons. C’est assez dur, j’ai demande a Curt Eric qui m’a affirme que vous serez a la hauteur, parce que vous avez certainement fait ça une ou deux fois. Donc nous devons d’abord mettre la veste de liberace

A: Oh non !

H: Vous devez lui ressembler ; nous utilisons un chemisier spécial et quelques bidules, si vous ne vous sentez pas capable, vous êtes libre.

A: Pas de problème

H: Vous êtes sure

A: certaine

H: Ces bagues vous seront utiles ! (un homme lui apporte des bagues)

A: Non j’en ai déjà !

H: Elle en a déjà, nous ne les utilisons pas

A: Dois-je jouer cela ? (regardant les partitions)

H: Oui, a vous l’honneur !



A: Essayons. Vous avez les mouchoirs ? Allons y ! (Agnetha s’en sort pas mal avec du Haydn)

H: Très bien

A: C’était bon ?

H: Bravo!

Bravo

A: J’étais mal à l’aise

H: Bien. Tous ceux qui trichent savent combien il est difficile de jouer ainsi. Vous êtes un bon pianiste.

A: Oui j’ai joue sur des partitions pendant ...j’ai pris des leçons pendant 10 ou 15 ans

H: Ah, vous avez deux enfants quel âge ont ils ?



A: 12 et 7 ans !

H: Sont-ils musiciens

A: Oui mais l’une est plus intéressée.


H: Comment ont ils vécu le fait d’avoir une mère si célèbre ?

A: Ils s’en accommodent. Ils ne sont pas impressionnes .mais en même temps ils commencent à s’en rendre compte vraiment. On parle beaucoup de la période abba et tout ça.

H: Vous êtes mère poule n’est ce pas ? (hagge enrichi le vocabulaire suédois)

A: J’aime "être chez moi". J’aime la maison.


H: Les enfants avant la carrière, n’est ce pas ?

A: Je pense que l’idéal ce serait de concilier les deux .faire des disques, remplir sa fonction de mère et faire des films .c’est possible de faire les deux. Ça fonctionne jusqu’a présent...

H: Plus de tournées ?

A: Je n’ai pas encore décide mais c’est vraiment la dernière chose que je ferai !

H: Sinon ce serait par train !

A: J’ai essaye maints types de transport, il y’en a beaucoup !

H: C’est moins cher, vus êtes de Småland (le petit pays, la campagne), ne l’oubliez pas ! (les gens de cette région sont réputes avares !)

A: Mais je ne suis pas avare

H: Vous êtes avare ?

A: Non, je suis généreuse.

H: Généreuse ?

A: Oui.

H: Les gens du Småland sont économes !

A: Oui, je crois qu’ils le sont.

H: Comment c’était déjà quand le gros bengt l’avait dit quand on l’a invite ? ”Vous ne devriez n’avoir aucune dépense que des rentrées !” Est ce vraiment possible !


A: Aussi longtemps qu’on a un but dans la vie !



H: N’avez vous jamais pense à quitter le pays ?

A: J’y ai pense mais je pense qu’il me serait très dur.

H: Beaucoup de gens seront triste, par exemple Kjell-Olof Feldt. (Rires, c’était le ministre des finances)

A: Exactement !

H: Vous devez être parmi les plus gros payeurs de taxes en suède

A: Oui je le suis ,et je le sais !

H: N’est il pas tentant de faire comme Björn Borg, Stenmark et Björn et Frida et…

A: Bon, ce n’est pas seulement pour cette raison qu’ils l’ont fait .ils ont surement d’autres approches ...

H: Oui, c’est sur .mais pour beaucoup c’est tentant !

A: Je ne puis répondre que pour moi même, je n’en ai pas du tout l’envie actuellement .mais rien ne pourra m’empêcher si j’en ai envie dans le futur .mais je ne le supporterais pas, a cause de mes racines, ma famille, mes amis...

H: Vous avez 35 ans

A: oui

H: Et arrête de fumer

A: oui

H: Depuis quand ?

A: Deux ans !

H: Félicitation !

A: Merci !

H: Vous devriez faire ça aussi ! (a l’encontre du public)

A: Oui, ce n’est vraiment pas aussi dur !

H : Quoi ?

A: Aussi dur !

H: Bien... vous êtes du genre fidele, n’est ce pas ?

A: fidele, oui

H: Etes vous jalouse ?

A: Oui, je le suis .c’est naturel .dans une relation, si vous aimez quelqu’un .c’est bizarre si vous ne l’êtes pas, je crois.

H: Vous le pensez.

A: Oui.

H: Le fait d’être, belle riche et célèbre, c’est problématique .parce que si on vous courtise (demande de danser) vous pensez que c’est par intérêt ! N’est ce pas ?

A: Non, cette idée que je suis belle, je ne l’ai jamais admis, malheureusement !

H: Vous pensez que je me répète.

A: Oui, un soupçon, mais je croie que ce n’est pas ça .vous devriez me voir le matin !

H: Oh oui, j’adorerais. (Un tonnerre de rire)

A: Non, c’est le maquillage, si vous vous lavez les cheveux, les sechez et mettez un peu de maquillage, le tour est joue !

H: Non, vous êtes belle même sans maquillage, je pense.

A: Vous croyez ?

H: Oui

A: C’est gentil

H: Bien sur je ne vous ai pas vu le matin .mais j’en suis sur .alors comment doit être votre prince charmant sur son cheval blanc et se reposant a Lidingö? Comment pourrit il être ? Comme Curt Eric, ou comme moi, ou le producteur, ou un autre.

Pourriez-vous-nous ...

A: Je le peux ...

H: Alors dites !

A: Il serait grand.

H : Merci !

A: Et serait dans le show biz, ayant fait des spectacles.

H: Wow tres bien !

A: Et son nom commencerait par un H

H : Non ! Arrêtons .vous savez ce que c’est ?

A: Un peu âge.

H: vraiment… Carola [Häggkvist-Sögaard] m’a donne ça.



A: Aha.



H: Que me donneriez vous ?

A: Rien.

H: Radine du Småland!

A: Rien pour le moment. Plus tard.

H: Rien, ne peut être après. Nous terminons .j’ai une petit surprise .la voila. je n’ai pas le bon de livraison .quand vous étiez petite, vous chantiez ”en sommar med dej” (un été avec toi) écrite par votre père ingvar, non ?









A: Oui il a écrit le texte.

H: Le texte pas la musique.

A: non, je l’ai compose.

H: Parfaitement.

A: Je pense ...

H: Et nous avons pense qu’il serait bien de clôturer après un duo avec votre père .je dirais même que nous avons voulu le ramener, mais il a eu la gorge sèche en y pensant.

A: Oui je le comprends.

H: Il ne pouvait plus parler .mais nous l’avons ramène quand même !

A ; (ne faisant pas attention) : une famille timide, je devais aussi vous rappeler quelque chose.

H: Que je vous aimez, oui. Je le dit encore. Et voila votre papa !

A: Oh non !

H: Oh si !

A: Non !

H: Oh que si !



(Le père entre en chantant)



Ingvar : quelque fois quand l’hiver est long et froid, on sait que les brises de l’été vont suivre, caresser tes joues et tout s’illumine .et on sent d’un seul coup, la renaissance, et que c’est le bouleversement .d’un coup tout peut changer ; tous ce que la nature peut donner. Une journée d’été, un soir d’été, c’est notre été .les vents doux et légers, le soleil et la mer, et les brillants myosotis. Dominent toute la gloire florale de l’été, tu peux en avoir de ma part, car tout ce que je voulais dans ce monde c’est un été avec toi.

[Applaudissements]



A: Je n’en savais rien ! Viens ici, viens .quelle surprise ! Je suis remontée dans le temps .c’est comme ”voici votre vie ” (show qui récapitulait toute la vie de l’invite)

H: C’est ça, votre vie !

A: Fantastique !

H: Venez ingvar !

A: Dans quelle loge étais tu ?

I: Là-bas

A: J’y étais.

H: Nous l’avons cache .nous avons eu beaucoup de mal a l’introduire dans le bâtiment sans ...

A: Je comprends !

H: Il a un mal de gorge, vous voyez.

I: Ma poitrine me brule.

H: Avez vous pu voir l’émission la ou vous étiez ?

I: J’ai regarde suer un écran.

H: Avez-vous eu d’elle une image réaliste ?

A: Oui, elle est bien sur tous les aspects.

H: Elle est une bonne fille ?

I: L’une des meilleures.

A: Je te remercie.

H: Bien c’est termine .un cadeau. Vous craignez l’avion, j’ai donc appelle ...

A: J’en ai déjà

H: … Un docteur rikard fuchs. Il a écrit un livre pour vous ’sur ! je peux voler ’ .allez y.

A: Je l’ai déjà.

H: Ah bon ? En voila un autre. Allez-y .des fleurs aussi ! Ingvar vous travaillez pour la compagnie d’électricité de Jönköping, non ?

I: L’énergie, maintenant.

H : énergie ou électricité, voici donc pour vous (ingvar reçoit une sorte de lampe) merci Agnetha !

Fin



























Source d'apres la traduction anglaise de  Mattias Olsson